Le sept de départ :
Tissot – Despreaux – Deblancs (Sidibé) – Tarrafeta – Ong (Lönn) – Parisini - Baznik
Le match démarre timidement pour les Aixois, avec un échec à 6 mètres et déjà quatre pertes de balle après seulement huit minutes de jeu.
Résultat : un début de rencontre compliqué et un premier écart en faveur du PSG (5-1). Paul Gourdel fait son entrée à la 10e minute pour tenter d’apporter plus de fluidité au jeu offensif.
Malgré ces difficultés, l’équipe affiche une volonté claire : chercher Parisini et Guiraudou dans la zone ou exploiter le moindre espace à 6 mètres. Les attaques sont construites, patientes, et les efforts finissent par payer. Grâce à de bons déplacements et quelques ballons récupérés en défense, l’écart se réduit (13-11 à la 21e).
Un Tarrafeta inspiré, une adresse au tir encourageante
Ian Tarrafeta brille sur cette première période. Précis dans ses passes et incisif dans ses prises d’initiative, il trouve des solutions dans des angles impossibles ou sert ses coéquipiers dans les meilleures conditions.
À la pause, le constat est clair : l’efficacité au tir est comparable à celle du PSG, mais le nombre de pertes de balle reste un problème majeur. Malgré tout, l’équipe garde des raisons d’y croire pour la seconde période.
Le point positif ?
La réussite parfaite de Loesch aux jets de 7 mètres, un atout à ne pas négliger pour la suite du match.
Un début de seconde période délicat, avant une montée en puissance
La reprise ressemble au début de match : un PSG précis en attaque qui creuse l’écart. Mais à la 40e minute, un temps-mort vient rebooster les Aixois, leur permettant de proposer des offensives plus tranchantes. Malgré l’efficacité parisienne, le PAUC ne lâche rien, restant concentré dans les deux secteurs du jeu. Résultat : plusieurs pénaltys obtenus et transformés par un Gabriel Loesch toujours impeccable dans l’exercice (100% à la 47e, 31-27).
Sous l’impulsion d’un Ian Tarrafeta en maître d’orchestre, le PAUC réduit encore l’écart et revient à trois longueurs du PSG à la 50e minute. Gustaf Banke redonne de l’espoir aux siens en stoppant un penalty décisif, immédiatement suivi d’une nouvelle réalisation de Loesch qui ramène le score à 32-30.
Une défaite frustrante mais encourageante
Jusqu’au bout, les Aixois ont poussé les Parisiens dans leurs retranchements. Mais face à une équipe chirurgicale, chaque erreur a coûté cher. Malgré tous leurs efforts, ils finissent par s’incliner à Coubertin.
🗣 Réaction d’après-match :"On a voulu surfer sur la bonne dynamique, on s’est battus et je suis fier de l’équipe tout de même." ELIOTT DESBLANCS
📅 Prochain rendez-vous : retour à l’Arena du Pays d’Aix le jeudi 6 mars pour la réception de Cesson Rennes.